voici donc un nouvelle que j'ai ecrit mercredi dernier en presque 6heure !!! j'espere qu'elle vous plaira meme si , je m'escuse a l'avance, la fin est tres bof !! J'ai un peu de mal a finir mes ecrit comme ca, dans tous les truc que j'ai ecrit d'ailleur !! Vous le verez dans mes fanfic que je post just apres !! mais allons y !!
Wrong futur
Prologue : 24 septembre 2027
- Chef, ils ont du saboter avant de « sauter », il vaut mieux pas traîné ! Le colonel sera déjà bien content d’avoir supprimé la Time Control Agency.
- Et puis votre père est déjà parti dans le temps, on risque plus rien.
- Mais non espèce de connard, s’il est dans le passé, il peut changer le futur. J’ai les coordonnés, je saute et vous aussi. Je dois le retrouver et le faire taire. Initialisez !
17 mai 2004
Me lever tous les matins comme ca en sueur et en panique, me rendait fou de rage. Voilà trois semaines que je fais se rêve étrange ou je me vois mourir, en plus je ne sais pas comment ; la seule chose que je me rappelle, c’est que je suis près de Commerce, puis j’entends un coup de feu et un mec crié et je ressens soudain une immense douleur dans ma poitrine qui me réveille à chaque fois ! ! ! Je me demande ce que ca veut dire ! ! !
Je commence a en avoir marre de ce boulot de merde, ca fait 9 mois que je bosse en usine, et c’est la merde : la seul chose qui me fait rester, c’est le salaire. Il faut bien qu’il y ait un avantage a bosser en usine !
En plus, je fais les deux huit, j’arrive pas a m’y faire.
Je profite de ma matinée pour aller voir un pote, au moins que je puisse penser à autre chose que ce rêve troublant !
J’arrive rapidement a pirmil, tout ce monde juste pour un bus ou un tram, c’est dingue. Les gens sont fous, ils se bousculent, se poussent, limite se tape dessus pour une place meilleure qu’une autre. M’en fout, je prends le 43 direction Lion D’Or. Mis à part des lycéens et des mecs bourrés, pas de vague dans le bus sauf peut être ce mec qui me fixe en cachette par le reflet de la vitre : un homo avec un peu de malchance, j’ai envie de lui dire que j’ai une copine mais c’est même pas le cas ! !
Arrivé chez Big, il m’ouvre la porte, il a la tronche dans le pâté, comme d’hab., avec sa clope a la bouche.
- Yo messats, ca va ? Dit il la voix embrumée.
- Oui ca va, il fait beau les oiseaux chantent ! ! ! Et toi ? ?
- Ca va ! ! Je viens de me réveiller ! ! J’ai joué à Dead or Alive jusqu'à 6h ! !
- Faut que tu arrête le café, tu dors plus toi ! ! Il me fait trop marrer !
A peine rentré qu’il me balance la manette dans les mains : Vas y je te prends ! ! !
Je lui réponds tac au tac : Ok, mais tu va bouffer ! ! Par contre, je pars dans 3 heures, je bosse cette aprem, a treize heures !
La matinée se passe bien, on joue tout la matinée est se taper la tronche virtuellement ; heureusement pour lui, il fait 40 kg tout mouillé le pauvre ! !
Puis je rentre chez moi avec le même bus. Avec d’autres lycéens qui ont fini les cours, et des mecs bourrés qui ont fini de l’être, jusqu'à demain en tout cas ! ! !
Juste le temps de manger et je pars avec mon vélo, courageusement vers mon boulot ! !
Je passe devant le Leclerc atout sud et son flot de voitures ainsi que devant Macdo, et ses flots d’odeurs. A chaque fois, je me dis que je m’arrêterais bien prendre vite fait un deluxe. J’arrive à SCA, toujours les même têtes de cons ! J’attache mon vélo et rentre dans le plus malodorant et bruyant des tafs que j’ai pus faire ! !
Ca va, mon collègue est la, on pourra parler vite fait entre deux palettes.
C’est chaud ce boulot, car passer huit de bruit sans pause, c’est la galère. Et vu le bruit, on peut que discuter à la façon boite : Bouche Oreilles, Oreilles Bouche ! !
Au bout des sept heures, légèrement difficiles d’ailleurs, on coupe les machines !
Ouf, plus de bruit, ca fait vraiment du bien. Bon maintenant nettoyage !
Une fois la journée finie, je rentre chez moi prendre une douche fraîche, j’ai trop chaud au boulot, en plus je rentre en vélo.
Je passe ma soirée devant la télé et MSN, je regarde plus mes dialogues MSN que la télé d’ailleurs ! ! Je me couche assez tard, pour bien dormir jusqu'à midi ! Je suis pas feignant mais j’adore traîné au lit !
Le lendemain matin, je me réveille à … 11 heures ! C’est génial, je fais plus ce rêve de merde. Me voilà libre de mon sommeil ! Je suis trop de bonne humeur, je prends vite fait une douche et je vais manger. Ouais y’a rien a manger ! Je dis à plus a mes parents, ils me disent : tu va ou ? ? Tu rentre ce soir ou pas ? Tu peux descendre les poubelles ? Et t’oublis pas de donner la pension de ce mois ! ! !
Dans l’ordre, je réponds : je sais pas et oui ! !
Economie de deux mots et en plus je laisse libre les réponses ; a eux de trouver à quelle question j’ai répondu ! Ils sont chiants quand même ! Pas grave je suis de bonne humeur, je dois rejoindre Stéphane en ville et on irait au ciné !
J’arrive en ville avec le tram, et je me dirige vers la Fnac. Sur le chemin, je croise une nana plutôt pas mal, elle vient me parler, c’est assez rare pour moi !
- Salut, vous pouvez me dire ou je peux trouver un magasin de musique ?
- Oui il y en a un derrière la Fnac !
- Merci … Heu vous pouvez m’accompagner, j’ai peur de pas trouver !
- Heu oui bien sur.
Je l’accompagne jusqu'à la Fnac, je traverse la place et …
J’entends quelqu’un hurler : PAPA ! !
Puis un coup de feu…Et une série d’autre !
Je ressens une vive douleur dans le dos, je m’écroule au sol, je vois les gens autour de moi crier et courir.
J’ai un goût ocre dans la bouche, un goût de cuivre : le goût du sang dans la bouche !
Tout devient noir autour de moi, je vois juste quelqu’un qui me parle, il semble hurler mais je n’entend plus rien. On dirait le mec du bus, le … Mes yeux se ferment…Je... Pourquoi on m’a tirer dessus ? … Pourquoi … moi ?
J’ai du mal a ouvrir les yeux, j’ai mal partout… Mais cette douleur m’annonce une bonne nouvelle : je suis vivant !
Mes membres sont engourdis, je peux bouger mes pieds et mes doigts ; la colonne vertébrale n’a pas été touchée ! Je me décide à ouvrir les yeux. Tout est blanc, cette odeur, ca me rappelle quelque chose, je suis dans un hôpital ! Je tourne la tête, je suis seul dans cette chambre. Dehors, il fait beau, malgré la fenêtre ouverte, j’ai chaud. Je cherche un indicatif de temps, je trouve rien ! J’appelle une infirmière. Peu de temps après, elle arrive.
- Bonjour monsieur François, ne bouger pas trop, le médecin va pas tarder.
- Ou suis je ? On est quand ?
- Vous êtes au CHU de Nantes, et nous sommes le 18 mai 2004 et il est 12h.
- Depuis hier ? Que m’est il arrivé ?
Le médecin arrive au même moment :
- Calmer vous, vous avez pris deux vilaines balles, une dans le bras au niveau de l’épaule et une au-dessous du trapèze, sous l’hémoplate. Sans gravité heureusement.
- Je n’ai rien alors ? Quand puis-je sortir ?
- Cette après midi, quand votre frère viendra vous chercher ! Bonne journée.
Puis il s’en va en indiquant les papiers nécessaires pour que je puisse sortir.
Mon frère ? Mais je n’ai pas de frère ! Qu’est ce que c’est que ces conneries ?
J’ai plus qu’a attendre que mon « frère » arrive.
Vers 15h, une infirmière arrive avec des vêtements propres.
- Ou sont mes affaires ? Mon portables, mes clés et mon portefeuilles ?
- Elles sont à la consigne au rez de chaussé. Votre frère vous y attend.
Je m’habille vite fait, la blouse d’hôpital est trop moche !
Arrivé en bas, je vois le type du bus !
Il me dit de ne pas poser de question et de le suivre, je m'exécute, ne sachant pas quoi dire !
Nous allons dans un bar. Une fois dedans lui commande un Pepsi, je prends la même chose.
- Tout d’abord, je suis désolé pour hier. Je pensais pas qu’il s’attaquerait à toi en plein jour. Me dit-il calmement.
- Qui ? C’est qui il ?
- Un dangereux assassin !
- Et toi ? Tu es qui ?
- Je suis … Quelqu’un … Qui est la pour te protéger, je peux pas t’en dire plus mais crois moi. Je ne te veux aucun mal !
- D’accord je veux bien te croire mais j’ai une question a te poser.
- Vas y !
- Pourquoi tu as crié « papa » avant les coups de feu, c’est toi qui as crié, n’est ce pas ?
- Oui… C’est moi. Voilà je suis ton fils ! Je viens du futur, je suis revenu dans le temps pour te sauver.
- Pourquoi ? C’est dingue cette histoire ! Qu’ais- je fais pour mériter de mourir ?
- Je, je peux pas te le dire, ca changerait peu être le futur. Je peux pas le permettre.
- D’accord. Je comprends. Mais maintenant, que va t- il m’arriver ? Vais-je devoir me cacher toute ma vie ?
- Non il faudra le tuer avant qu’il ne te tue !
Je suis resté toute la journée avec lui ! ! Je ne sais pas quoi pensé, je suis perdu ! Je ne sais même pas si je dois lui faire confiance ! !
Pourquoi moi ?
J’ai dormi à l’hôtel avec lui cette nuit la, on a pas parlé, je savais pas quoi dire et en même temps j’avais peur de ce qu’il pourrait me dire ! ! Je lui ai juste demandé quel âge il avait, son nom aussi et comment il a remonter le temps. Il m’a juste répondu qu’il avait 16 ans et qu’il se nommait Adrien.
Le lendemain, on a décider d’aller droit au but ; la mission était simple : j’étais l’appât et j’allais me faire chasser ! Mais Adrien m’a donné un 9mm, je serais le plus prêt de lui pour le tuer.
On est retourné à commerce, je redoute vraiment ce qui va se passer ! ! Je suis pas sur de pouvoir assumer toutes cette pression.
Nous voilà place du commerce devant la Fnac, la, où il y deux jours, je me suis fait tirer dessus. Je me sens vraiment mal à l’aise ici, je ne sais pas ce qui va se passer, j’ai peur de ce qu’il VA SE PASSER !
Ca fait dix minutes que je me balade sur cette place de malheur, il y a personne, c’est dimanche. Et pourtant, je vois deux policiers a l’angle de l’Europe et encore un autre devant la Fnac. Comment les gens ont ressentis ce qu’il s’est passé, et mes amis ? sont ils au courant ?
Soudain un homme avec un grand manteau et une capuche sort de la Fnac et se dirige vers moi, pourtant la place est très grande ; je jète un regard vers Adrien. Il me montre l’homme d’un geste de la tête, c’est le tueur. Je suis figé, je ne peux bouger aucune jambes, j’ai si peur.
Il continu son approche, il est à deux mètres de moi.
- Julien ? Tu dois me faire confiance et écouter ce que je vais te dire. Ta vie et la mienne sont liée, aujourd’hui je vais devoir te tuer ! Me dit- il en cherchant dans sa poche.
- Qui êtes vous ? Pourquoi je dois mourir ?
- Parce que … baanng ! ! ! ! ! ! !
Du sang me fouette le visage, ce n’est pas le mien c’est celui de cet homme, il s’écroule, et murmure une phrase incompréhensible.
- Julien ? … Tu … Il vaut mieux mourir… Plutôt que n’avoir jamais … Exister !
- Comment ca, que voulez vous dire ?
Je peux voir son visage… C’est … Moi ! !
Il tient quelque chose dans sa main, je le prends rapidement et le mets dans ma poche.
- Papa ? Ca va ? Tu n’as rien ?
Adrien accourt vers moi accompagné des deux policiers suivit du troisième. Les policiers constatent la mort de cet homme et commencent à le fouiller.
- Il n’a rien sur lui, chef. Dit un des policiers
- Impossible, il devait l’avoir sur lui ! A moins que …
Et la il se retourne vers moi.
- Donne moi ce qu’il avait ! Tout de suite ! ! !
- Tu n’es pas mon fils ! Pourquoi tu m’as choisi moi !
- SI, Je suis ton fils mais toi, t’es qu’un sale enfoiré ! Me dit il en m’envoyant une droite au visage. Tu aurais du écouter tes supérieurs et ne pas changer le passé a ta guise !
En tombant, je lâche mon arme, les quatre hommes m’entourent ! Maintenant je suis seul, terriblement seul.
- Donne-moi cette photo, ou je te tue ; je l’ai fait une fois, je peux le refaire !
Un des policiers me relève brutalement. Une fois debout, j’attrape son bras et réussi lui faire une clé de bras. Je m’en sers de bouclier car les trois autres sont prêt à faire feu, soudain des coups de feu obligent mes opposants a se cacher ; J’en profite pour balancer mon bouclier improviser, ramasser une arme et à courir, courir très vite ! Me sentant poussé des ailes, je cours jusqu'à la médiathèque. La je me retourne, essouffler, personne m’a suivi. Si, je les vois courir depuis la Fnac, j’en profite pour regarder cette maudite photo qui m’attire tellement d’ennui. Sur cette photo, je me vois moi enfant avec … Moi adulte ! En bas de la photo, il est écrit « il est l’élu ».
« Une fois toi mort, il sera l’élu ! » Ses mots résonnent dans ma tête, ses mots, je les ai entendus il y a longtemps en 1986. Cet homme si gentil, c’était moi !
J’avais scellé mon destin avant même de commencé à vivre.
Mes poursuivants me rejoignent très vite :
- Jette ton arme, Père. Je veux pas te tuer, alors ne me donne pas l’occasion !
- Parle-moi de ta mère, la femme que j’ai aimé, comment elle était ?
- Ma mère s’est donnée la mort pour éviter de subir tes choix . Elle était très belle, elle est morte quand j’étais qu’un gosse ! Tu l’as tué !
- J’ai vécu heureux, j’ai eu une femme et un garçon ! Je suis content ! Moi je continu a vivre mais pas toi !
Mon arme se plaqua rapidement contre mon cœur.
Puis je me rappelle mon rêve, je suis près de commerce, j’entends un coup de feu puis un cri. Je tombe à genou, j’ai tellement mal ! Je baisse la tête, je vois du sang sur mes mains, ma vision se brouille, je relève la tête ; je vois cet Adrien en train de hurler et de … Disparaître ! Je l’entends hurler de moins en moins fort, je tombe sur le sol. Mes yeux se ferment.
Epilogue :
10 ans plus tard, dans une base sous terrain secrète :
- Ju, ton prochain voyage se passe quand ?
- Heu, chef, je crois je vais arrêter ce boulot et me mettre à m’occuper un peu de mon fils.
- Il faudra que tu m’explique, tu as un fils de 4 ans alors que ta femme est morte il y a 5 ans
- C’est une vieille histoire !
- OK c’est pas grave. J’attends ta lettre de démission sur mon bureau demain sinon tu continu.
- Aucun risque !
Je sors du complexe sachant que je le reverrais plus. Je me dirige vers ma voiture ou je vois dans la voiture … Moi.
- Je vais m’occuper de toi julien, comme mon fils !
FIN
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